J’ai des semaines assez épuisantes ces temps-ci. La plupart du temps quand il me reste un peu d’espace pour moi je lis ou je regarde des séries. Je n’ai pas trop envie de parler. Je m’accroche à travers les tempêtes.
J’ai lu ça:

Mais ça ne m’a pas tant aidée en fait parce que ma peur vient des traumatismes multiples et non de phobie sociale…
J’ai lu ça aussi et même si c’était pour les ados j’ai quand même apprécié. Je recommande pour les parents inquiets:

Je l’ai lu pour mon livre… je parle de choses qui remontent à loin et Gabor Mate c’est bien mais en même temps c’est beaucoup considérant les circonstances dans lesquelles il travaille et celles dans lesquelles je passe ma vie. Ça fait trop de souffrances d’un coup. Trop de gens qu’on laisse mourir vivants.
J’ai aussi lu ça:

La chose principale que j’ignorais c’est que de plus en plus de pays considèrent le masculinisme comme du terrorisme. C’est à la fois logique et fascinant.
Le titre du billet c’est parce que ce matin après que j’aie parlé, un homme dans le cours s’est mis à dire que toutes les féministes sont misandres et après c’était le bordel… dans un cours sur les femmes et la criminalité imaginez-vous donc… un cours rempli majoritairement de femmes. Je suis restée calme et je suis fière de moi mais au moins nous avons été plusieurs à souligner la violence et la fausseté de ses propos. Je sais qu’il y aura toujours des personnes comme ça mais ça me déprime. Ça confirme cependant encore une fois qu’une des raisons principales pourquoi j’ai des problèmes avec les humains est parce que je suis féministe et qu’il y a beaucoup de gens qui ne comprennent pas tant ce que ça signifie ni pourquoi c’est important… Venant d’un homme victime d’agression sexuelle qui doit une bonne partie des connaissances sur ce qu’il a vécu au féminisme c’était pas mal étrange comme situation.
Enfin…
J’ai acheté des bottes oranges et j’ai terminé ce châle enfin:

Il me reste juste à rentrer les fils.
Je suis déjà sur un autre projet…
Je vais au lit. Je reviens dès que je me sors un peu la tête de l’eau.
À plus